Il faut cultiver son jardin interroge ce qui nous relie à la nature, à la terre qui nous nourrit, nous héberge, jusqu’à notre dernière demeure, six pieds sous elle.
Le spectacle utilise divers langages : littérature, théâtre, chansons, et fait même participer le public.
Christian Dalimier et Valéry Bendjilali abordent ce sujet de manière ludique, jamais donneurs de leçon, préférant pratiquer l’auto-dérision.
Avec comme ligne de fond : qu’on ait la main verte ou qu’on préfère cultiver son talent, s’enivrer des jardins de Colette ou de Zola, l’important est de cultiver son jardin.
Organisateur
Installées au cœur de Bruxelles, les Riches-Claires ont, dès leurs débuts, mis un point d’honneur à être un pied à l’étrier pour des projets émergents. Cette mission trouve son origine sous l’impulsion de Jacques Viala (directeur de 1999 à 2003), et sera poursuivie avec force par Mélanie Lalieu (directrice de 2003 à 2013) et Éric De Staercke (directeur depuis 2013).
Parmi les artistes ayant joué leurs créations aux Riches-Claires, nous pouvons notamment nous rappeler de Geneviève Damas, Pietro Pizzuti, Thibaut Nève, le Panach’Club, Roda Fawaz, le Collectif Arbatache, Angelo Bison, Hamadi ou encore Thomas Mustin, la Compagnie Yapluka, Marc De Roy, Emmanuel De Candido, Alexandre Drouet, Emmanuel Deckoninck, Georges Lini, Adeline Dieudonné, Peggy Thomas, le Canine collectif, les Vrais Majors…
Originellement organisées autour d’une seule salle de spectacle de 200 places (la Salle Viala, ainsi nommée en hommage à Jacques Viala), les Riches-Claires comptent depuis 2013 une deuxième salle de 80 places, baptisée Salle Marion, en hommage à Marion (née Georgette Mariot), comédienne, humoriste et animatrice belge qui a beaucoup oeuvré et oeuvre toujours au soutien des jeunes compagnies, en initiant des projets tels que « Le Pied à l’Etrier » ou les « Lundis-Théâtre », toujours programmés aux Riches-Claires.
Lieu
Salle de spectacle de 200 places, ainsi nommée en hommage à Jacques Viala, directeur du théâtre de 1999 à 2003