60 minutes pour se bercer d’illusions
Hommage rendu à Étienne Robertson (1763-1837), maître liégeois de la fantasmagorie, L’ombre du scarabée propose de plonger au centre de l’imaginaire pur. Pas celui qui aide à vivre ou à bien vieillir; celui qui abolit les frontières du temps et de l’entendement humain. Revisitant les tours des bonimenteurs, fabulateurs et autres baratineurs de fêtes foraines, le spectacle a recours à une technologie de pointe appelée Visual Syntax Recognition. Actuellement mise au point à l’Université de Liège, sa fonction consiste à générer des images en temps réel suivant le plus fidèlement possible une histoire racontée à haute voix. L’ombre du scarabée va, à coup sûr, vous bercer d’illusions.
écriture, scénographie, jeu et réalisation des films animés Patrick Corillon